La France a fait le choix de séparer le plutonium et l’uranium appauvri à La Hague pour alimenter des réacteurs de 4ème génération. L’abandon du réacteur Astrid remet en cause cette stratégie. L’avenir de La Hague est sur la sellette.
La France a fait le choix de séparer le plutonium et l’uranium appauvri à La Hague pour alimenter des réacteurs de 4ème génération. L’abandon du réacteur Astrid remet en cause cette stratégie. L’avenir de La Hague est sur la sellette.