L’Ademe a évalué le gisement des invendus non alimentaires, ainsi que les voies d’écoulement. 4,3 milliards d’euros de produits ne trouvent pas preneurs, notamment à cause des effets de mode. Un tiers de ces produits finissent encore au recyclage.
L’Ademe a évalué le gisement des invendus non alimentaires, ainsi que les voies d’écoulement. 4,3 milliards d’euros de produits ne trouvent pas preneurs, notamment à cause des effets de mode. Un tiers de ces produits finissent encore au recyclage.